Le commerce des idées, qui peut constituer l’identité de l’éditeur, est aussi un commerce des livres.
La loi, la confrontation avec la(les) censure(s), le jeu sur les marges de la morale, des réputations, de la diffamation, participent des mécanismes de régulation et de promotion de la profession éditoriale.
La logique du scandale est une arme pour imposer des idées et aussi pour s’imposer comme éditeur.